750 grammes
Tous nos blogs cuisine Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

PrÉSentation

  • : Blog Dupéré Barrera
  • : Blog de deux vignerons du sud de la France, souhaitant partager leur passion de la vigne, du vin et de la vie.
  • Contact

Qui sommes nous ?

Certains nous connaissent, comme négociants sur le Sud Est de la France, d’autres comme vinificateurs Nowat, ou en tant que vignerons bio en AOC Côtes de Provence.

Nous avons notre propre vision du vin, nous sommes dans le monde du vin sans être du monde du vin.


Le blog est aujourd’hui un excellent moyen de communiquer et de partager ses idées… Nous souhaitons partager notre passion du vin, mais aussi nos passions en général.

Si vous souhaitez avoir d'autres informations sur nous, vous pouvez aussi consulter notre site internet :

http://www.duperebarrera.com 

Recherche

10 octobre 2007 3 10 /10 /octobre /2007 19:06
Avec ce titre, il fallait assurer la suite et ce sera... l'hostellerie Berard à la Cadière d'Azur en plein vignoble de Bandol.
DSCN3386.JPG
D'ailleurs pour ceux qui ont de bons yeux, par les baies vitrées du restaurant, on peut voir au loin, une parcelle de mourvèdre qui entre dans notre cuvée "india".

Voici la salle, plutôt vide ce midi hors saison, mais du coup, le service était parfait.
DSCN3375.JPG
Quelques plats délicieux...
DSCN3377.JPG

DSCN3380.JPG
Quelques truffes et 
DSCN3382.JPG
un plateau de fromage réellement mémorable tout autant que la splendide carte des vins unique dans le Var voire même en Provence. Bravo à Benoit le sommelier (qui en plus nous a offert un verre de Palette Blanc afin de nous faire patienter pour notre Gauby pas prêt pour la température de service idéale).

En rouge, nous avons tablé sur le classique de Bandol : la cuvée Cabassaou 2001 du domaine Tempier (ah ! quelle verticale sur la carte !).

Une belle adresse, pas donnée, mais ce doit être le prix de l'exceptionnel en Provence.
DSCN3393.JPG
Et pour finir, petite marche dans le vignoble avec un commercial de notre importateur au Japon et notre agente et amie : Hanami san.
Partager cet article
Repost0
21 août 2007 2 21 /08 /août /2007 14:10
"L'eau à la bouche" : Drôle d’expression pour suggérer le fait de saliver face à quelque chose de particulièrement apétissant. C’est un peu ce qui vous arrive en rentrant à ce Relais et Chateaux des Laurentides (à une petite heure de route au nord de Montréal).

Sur la photo, de gauche à droite : Elise (la femme de mon père), René (mon père) et moi.

C’est une des plus belles tables du Québec, le style de cuisine est raffiné, les produits sont irréprochables. La carte des vins est très bien faite et si l’on y retrouve peu de nos vins, c’est qu’ils sont rapidement commandés et bus (le contraire de chez marc Veyrat ou nos côtes de Provence étaient restés des années à la carte sans être renouvelés – peut-être même y en a t-il encore ???). L'ambiance est chaleureuse, le service impeccable. C'est un endroit à essayer au moins une fois dans sa vie.
 

Voici quelques plats qui nous ont été servis :

Un tartare de noix de st-jacques avec une huître (Je sais Patrick, c'est pas le temps des St-Jacques :-)))) . Mais, c'était  quand même très bon.


La photo de ce plat ne paye pas de mine, mais ce plat était vraiment plein de saveurs.
Beaux plateaux de fromages, pour la plupart québécois.


Le Chef est une Chef (Anne Desjardins) et c’est assez rare pour le souligner.


Voilà un grand moment de gastronomie qui mérite le détour. Pour d'autres renseignements allez voir leur site internet : http://www.leaualabouche.com

Partager cet article
Repost0
6 août 2007 1 06 /08 /août /2007 14:20
Un beau nom pour un restaurant que nous venons de découvrir à... Montréal.


En effet nous venons d'entamer un nouveau voyage promotionnel au Québec pour préparer le lancement de 3 de nos cuvées en SAQ en septembre.
 
Et, à peine arrivés, nous sommes invités par notre importateur et agent (gilles Martin de la société le Maître de chai) à ce qu'il nomme un des plus grands parmi les petits restaurant de Montréal.

La salle est petite mais très bien décorée avec des oeuvres d'artistes contemporains qui font plaisir aux yeux.

La carte des vins, elle, ferait palir de jalousie plus d'un restaurant gastronomique ! C'est presque un livre. Je pense même que c'est un des  seul endroit dans le monde où l'on peut avoir une verticale de certains de nos vins. Bref, il y a du choix et de quoi accompagner une cuisine savoureuse, originale et goutue.  Voici quelques plats délicieux.

Ci-dessous, une pétoncle ou noix de st-jacques (terme que l'on emploi respectivement au Québec et France pour dire la même chose) avec une crème de yaourt.

Ce plat était divin et malgré le fait que ce soit du poisson, il allait très bien avec nos vins.

Un très beau repas du midi, le service jeune et passionné était irréprochable, dommage pour nous qu'il s'agissait d'un "repas de travail" qui nous a empéché de profiter à 100 % de ce moment. il faudra que nous y retournions, c'est certain.
Ci-dessus, le sommelier du restaurant, ancien élève de l'institut du tourisme et de l'hotellerie que nous avions déjà rencontré dans cette école.
Partager cet article
Repost0
29 juillet 2007 7 29 /07 /juillet /2007 18:26
Nous voilà à Chevannes, à  environ 10 minutes d'Auxerre. Nous faisons encore confiance au Gault et Millau, car nous ne connaissons pas du tout la région. Nous choisissons un retaurant en plein campagne et c'est plutôt le site internet de ce restaurant qui nous a décidé à venir y manger que la simple description du guide.

Le cadre est champêtre et enchanteur avec un petit ruisseau, un canard qui vient manger au pied de notre table et ce jour là la température ayant augmentée de quelques degrés, nous mangeons en terrasse.

L'accueil est discret et attentionné, avec la propriétaire et une seule serveuse, j'aime beaucoup lorsque c'est  assez décontracté et que l'on se sent presque chez soi.

Nous choisissons le menu gastonomique et en entrée le millefeuille de pomme et foie gras cuit , j'ai beaucoup aimé le mélange sucré-salé. La photo ne paye pas de mine, mais c'était vraiment bon.  Par contre, certaines assiettes  ne mettaient pas vraiment le plat en valeur, comme sur cette photo, dommage, car ce sont des petits détails, qui font souvent  la différence.

Ensuite un pigeon avec une sorte de gratin de pomme de terre, je dirais même plutôt comme un mille-feuille de pomme de terre. C'était divin, je pense que j'ai au moins dit dix fois à Laurent pendant que je dégustais ce plat : « c'est super bon ».

Juste pour ce plat j'y retournerais.

Ci-dessous des coquilles St-Jacques....et un sancerre blanc cotes des monts damnés, dont on a oublié le nom du négociant (qualitatif cependant).


Dans l'article précèdent nous avions parlé du restaurant Barnabet qui avait au Guide Gault et Millau un 15/20 et ce restaurant à la note de 13/20. Pour nos goûts et ce que l'on a pu comparer entre ces deux restaurants, nous aurions mis les notes inverses... Comme quoi.... 

Ci dessus, un dessert aux agrumes frais et idéal en fin de repas (surtout après un plateau de fromage digne de la région. En résumé, une très bonne adresse à essayer lors d'un séjour en Bourgogne (menus de 30 à 56 euros environ ; plus d'infos sur leur site bien fait : http://la.chamaille.free.fr).

Partager cet article
Repost0
28 juillet 2007 6 28 /07 /juillet /2007 21:14
Nous souhaitions faire le meilleur restaurant d’Auxerre et puisque nous avions sous la main le guide Gault et Millau, nous leur avons fait confiance pour faire notre choix. Le restaurant le mieux côté (15/20) se nomme Barnabet (www.jlbarnabet.com) et  il est situé sur les quais en plein cœur d’Auxerre. La bâtisse est imposante et belle, mais la décoration est d’un classisisme provincial.


Nous y voilà donc. L’accueil et le service sont de la qualité d’un étoilé michelin, c’est beaucoup de monde autour de soi  pour s’occuper de la moindre petite chose. C’était irréprochable, mais presque trop pour nous.

Pour ce qui est de la cuisine. Il existe en France plusieurs courants gastronomiques et un de ceux là est ce que l’on pourrait nommer : la vieille école française. Nous voulons dire par là, la cuisine des dimanches en famille bourgeoise (magret dans une sauce maron avec des cerises entières ou encore un flan caramel sans originalité comme avant dessert).

Mais, dans chaque école il y a des exceptions et  une des entrées du menu gastronomique nous a enchanté. Un foie gras aux éclats de truffes, très parfumé. C’était exceptionnel, même si la photo ci-dessous ne reflète pas vraiment la qualité du plat.

La carte des vins était hors du commun et à prix doux, surtout pour les amateurs de grands bourgognes (les comtes Lafont, Coche dury, les beaux Chablis de Ravenau et Dauvissat et... l’incontournable Romanée Conti à 1500 euros tout de même).

En résumé, on peut dire que nous avons passé une bonne soirée, mais par rapport à nos goûts et à la description faite par le Gault et Milllau, nous avons été un peu déçus.

Le défaut de la plupart des guides gastronomiques et je dirais la même chose pour les guides de vins est que tout est fait en fonction de « la personne » qui mange ou déguste. Si on n'a pas les mêmes goûts que cette personne qui décrit le repas ou le vin, on a souvent des déceptions.
Partager cet article
Repost0
20 juillet 2007 5 20 /07 /juillet /2007 21:50
Je me doute bien que certaines personnes pensent que nous passons notre temps au restaurant. Et bien ce n'est pas le cas, mais nous aimons  la cuisine surtout lorsqu'elle est inventive et nous fait découvrir des saveurs.

Juste pour le plaisir des yeux, un champs de Lavande typique du plateau de Valensole au nord du Verdon....

Un autre restaurant que nous avons essayé dans le Verdon, toujours à Moustiers Sainte Marie est le restaurant "les Santons" (ex étoilé michelin).

Sincèrement, c'est franchement un cran en dessous de "la treille muscatée" et deux crans en dessous de la ferme ste-Cécile. La cuisine a un côté "anglais", ce que je veux dire par là, sans insulter nos amis anglais, c'est que ce sont des mélanges et des couleurs parfois bizarres.

Le plat ci-dessous, aurait pu être très bon, mais il était un peu trop pimenté selon nous et ça n'allait pas avec le vin.

Nous avons bu une bouteille d'hermitage de Chave blanc 2001. Ce n'est pas courant dans notre région, de trouver de belles bouteilles en restaurant. Nous avons essayer le blanc et malgré le fait que la cuisine n'est pas dans le style que nous apprécions, nous reviendrons probablement au mois d'août pour essayer le rouge de Chave, car le blanc était intéressant.

Ci-dessous la couleur de la sauce était vraiment surprenante et pas trop à mes goûts. Rose "flashy" !


Les desserts étaient corrects ; Sur le menu la description donnait vraiment envie et en vrai, c'était moins surprenant.


Voilà, si vous avez envie de boire une bonne bouteille de Chave, c'est l'endroit où aller, mais pour la cuisine, vaut mieux aller en priorité aux deux autres adresses déjà citées dans nos autres articles.
Partager cet article
Repost0
19 juillet 2007 4 19 /07 /juillet /2007 21:43
Pour faire suite à notre week-end passé dans le Verdon , nous allons vous donner une autre  adresse  nous affectionnons particulièrement : le restaurant  la treille muscaté, situé à Moustiers Sainte Marie. Nous connaissons ce restaurant depuis déjà quelques années déjà  et nous n'avons jamais été déçu par la qualité de sa cuisine. On pourrait dire que c'est une cuisine provençale, mais pas lourde, pas caricaturale, comme c'est souvent le cas.
 
Vous trouverez ci-dessous quelques photos de cette soirée sympatique....en terrasse.

Pour commencer le repas,un plat délicieux : la relecture de la soupe au pistou, mais vraiment parfumée, des soupes comme ça, j'en veux bien tous les jours....


Petite dorade toute simple ,mais excellente.Je suis ravie devant ma cassolette d'agneau et son gratin aux cèpes, miam miam.


Les desserts sont originaux et pleins de saveurs.


La carte des vins est correcte, avec une sélection plutôt orientée sur les vins de Provence. Mais, celui que nous avons choisi était vraiment imbuvable (c'était un cru classé de Provence). Ca faisait longtemps que nous n'avions pas pu un vin aussi mauvais. Millésime 2003, comme tous le monde le sait, c'était un millésime très chaud et bien là on aurait dit que l'on buvait de l'eau. Jai bu 3 gorgées et c'était 3 gorgées de trop. C'est sur que si ce genre de vins, font la réputation des rouges de Provence, je comprends que cette région mise autant sur le rosé...


Et pour finir, nous vous en avions déjà parlé, mais vous pensiez peut-être que je délirais, donc voici la photo de la publicité pour les rosés de Provence. Si on s'arrête une minute et qu'on essaye de s'imaginer les personnes qui pouvaient habiter en Provence il y a 2600 ans et  le vin qu'ils buvaient à l'époque franchement, ça devait ressembler à tout sauf à un rosé levuré, acidifié, d'une couleur qu'on dirait que l'on boit un vin blanc, bref cette pub, c'est vraiment n'importe quoi, mais ça me fait quand même sourire. Et comme on dit une image vaut milles mots....mais je préférerais que ça dise la vérité soit : Terre de rouge depuis 2550 ans, ça c'est vrai. Car depuis 50 ans, les touristes sont arrivés...et le rosé est né....
Partager cet article
Repost0
16 juillet 2007 1 16 /07 /juillet /2007 15:07

Pascal Paradis,  nous vous en avons souventefois parlé,  est ce sommelier venu en 2004-2005 passer quelques temps en notre compagnie pour parfaire ses connaissances en viticulture-oenologie.

A la base, il a une formation de sommelier et a travaillé dans des bons restaurants au Québec. Et, depuis maintenant environ 2 ans, c'est LE SOMMELIER du restaurant Toqué à Montréal. C'est un restaurant que nous aimons particulièrement et qui est, selon nous, le meilleur de Montréal ou, en tout cas, dans le peloton de tête.

Ci-dessus, une partie de l'équipe. En avant plan le talentueux chef Normand Laprise, à droite Christine Lamarche, la tête dirigente du restaurant, Charles- antoine Crite le second plein de talent et Pascal Paradis, sommelier passionné.


Donc, Pascal commence à faire parler de lui (voir l'article ci-dessous) et ça nous fait plaisir, car même si nous n'y sommes pas pour grand chose, ça nous fait quand même plaisir  de pouvoir  partager un peu ses réussites avec lui.

Au fait, nous allons faire un événement avec ce restaurant le 4 décembre 2007, qui alliera les plats du Toqué en accord avec nos vins. Et, il y aura des curiosités viniques, des vins inédits au Québec, donc ce sera un événement  certainement intéressant. Mais, ne vous inquiétez pas nous en reparlerons. Mais pour ceux que ça intéresse, les réservations sont déjà ouvertes, car l'événement sera limité en nombre de participants. La soirée sera à 220 dollars  tout compris (service et taxes comprises)

Ci-dessous un extrait de l'article qui parle de Pascal. L'article est en anglais, car il est extrait de la Gazette de Montréal (journal anglophone) :

Diners can opt for la carte or a tasting menu, and I'd say this seven-course extravaganza is the way to go - if only by judging by last week's "menu de dEgustation," which featured crab, scallops, lobster, foie gras, pigeon, morels, baby vegetables and Quebec's first raspberries. If you're really celebrating, add the wine-pairing option to that menu. ToquE! was slow to jump on the wine-pairing-dinner bandwagon, but it's sure making up for lost time, thanks to its latest sommelier, Pascal Paradis. When Paradis pours you a glass of wine, prepare to be amazed. Primarily bio-dynamic, his selections are not only unusual but perfectly attuned to all the wild and wonderful flavours on the plate.

Partager cet article
Repost0
11 juillet 2007 3 11 /07 /juillet /2007 21:51

Voilà ce que signifie pour moi : LE PARADIS.

Le Lac de Ste-Croix, dans le haut Var, à la sortie des gorges du Verdon, c'est un des endroits que je préfère au monde. Un magnifique Lac, j'adore l'eau douce et je déteste l'eau salée (tiens, encore une révélation....), donc, la mer méditérannée très peu pour moi. Mais, l'eau douce je peux y passer des journées entières et en levant les yeux on a une vue superbe sur les montagnes et en plus c'est qu'à une heure et demi de Toulon.

Autre avantage non négligeable, il y a de très bonnes tables. Nous avons déjà parlé ici de la bastide des moustiers  d'Alain Ducasse où nous avons mangé deux fois et nous n'avons jamais été déçu.

Mais, aujourd'hui nous allons vous parler de notre coup de coeur du Verdon, le restaurant la ferme ste-Cécile. C'est vraiment notre restaurant préféré, où nous avons mangé très souvent et à chaque fois il y a de l'originalité, du goût et il faut le souligner une belle cave (ce qui est rare en Provence) et un service impeccable. Un endroit où on se sent bien, la terrasse est vraiment agréable, on y a même déjà vu un rennes se balader devant nous. C'est vraiment en pleine nature.


Ci-dessous une sélection de photos avec certains plats du moment :

 Seiche à la plancha

 Pigeonneau des hautes alpes et un très correct cairanne d'Alary 2004.



Le menu est à 33 euros,c'est un très rapport qualité-prix, un endroit à vraiment découvrir lors de vos vacances dans le Verdon.

Partager cet article
Repost0
4 juillet 2007 3 04 /07 /juillet /2007 09:38
Voilà, il y a un petit moment  déjà que nous n'avons pas fait d'articles "hors sujet", ce qui signifie des sujets qui ne touchent pas  directement le monde du vin ou de la gastronomie.

Mais, mon article enfin de compte n'est pas si "hors sujet" puisqu'il souhaite vous parler d'un ami japonais, grand céramiste de renom. Mais, je ne vais pas vous parler de ses oeuvres céramiques pour cela vous pouvez aller jeter un coup d'oeil sur notre blog céramique : www.blogceramique.com. Ci-dessous, juste pour le plaisir des yeux, quelques pièces de Rizu :


Le sujet de cet article concerne une visite récente que nous avons fait chez Rizu et la cuisine familiale japonaise. Rizu Takahashi (c'est son nom) et Mercedes sa femme, habitent près de Toulouse et nous nous sommes arrêtés  chez eux à notre retour de Vinexpo. Ce fut donc l'occasion de partager un repas japonais en leur compagnie et de découvrir quelques spécialités que l'on mange en famille au Japon.


Nous avons donc eu comme repas, des omelettes entourées par des algues. Du poisson (cuit) avec du riz. Des navets marinés à la japonaise et des aubergines au goût  très bizarre que je n'ai pas vraiment apprécié, Au japon, elles sont apprêtées dans une genre de "saumure", dont je n'ai pas retenu le nom, qui se transmet de génération en génération. Tous les jours, cette "saumure" doit être brassée, ce qui veut dire que certaines saumures qui sont conservées pendant 100 ans, ont vu succéder plusieurs générations pour s'en occuper.
Et, cela se transmet entre génération de femmes. C'est, un peu la même histoire pour la céramique japonaise. La tradition voulait que l'on prépare l'argile pour les générations à venir.

C'est toute une autre vision de la vie, tellement à l'opposé de notre société de rapidité à l'extrême et de supposée efficacité. Prendre le temps de vivre, de savourer la vie est devenue dans nos sociétés synonyme de perte de temps et de paresse. Quel dommage....
Mais, vous pouvez si vous en avez envie, prendre quelques minutes ou secondes, devant ce magnifique bouquet ikebana réalisé par RIzu et photographié dans sa maison. La simplicité à l'état pur.

Partager cet article
Repost0